La Sombre Menace, Août 118 (introduction) + Septembre 118 Intro et Conclusion

Arkadiamédiéval : La Sombre Menace,
Août 118

Malgré le fait que les Ratfolks menèrent la vie dure aux Wolfencrois, ces derniers réussirent, après maintes négociations, de signer un traité de paix avec eux, au grand désaccord de l’Inquisition, qui souligna que d’autres problèmes allaient survenir. L’infâme golem de chaire des Ratfolks fut en effet hors de contrôle et s’en prit aux villageois, mais ce dernier fut mis hors d’état de nuire.

Suite aux dernières influences qui penchèrent en faveur des Orques du Mortbaey, ces derniers purent repousser les Enfants De La Purge et récupérer leur port. Ces derniers se refoulèrent dans la région du Drakor et commencèrent d’y brûler tous les villages se trouvant sur leur passage. Des communautés entières furent décimées par les flammes de leurs convictions.

L’armée impériale qui se trouvait au Mortbaey afin d’appuyer les Orques, décida d’aller supporter les elfes du Drakor.

Les rumeurs voulaient que le roi du Drakor, en réponse de la menace que posaient les Enfants de la Purge, ait relâché en ce monde des puissances oubliées. La nature exacte de ces puissances resta inconnue jusqu'à présent.

Pendant que le tonnerre de la guerre continua de gronder dans les régions de l’est, une autre menace, sombre et sournoise et provenant du monde des Abysses, vint de se nicher dans les profondeurs de la forêt voisine au village de Wolfencrow.

Contre toute attente, les Ratfolks de toutes les croyances décidèrent de l’allier aux Wolfencrois dans la lutte contre ce danger imminent. Si cette sombre menace abyssale, qui se tissait d’elle-même comme une toile d’araignée de plus en plus grande n’était pas stoppée, tous les plans d’existences seraient ciblés par une infestation qui allait dévorer la fibre même de toute existence.

Quelle est donc la nature de cette toile ?

Qui sont exactement ceux qui la tissent et l’habitent ?

Si la charogne n’empoisonne pas Le corbeau, les innombrables filets de la toile pourrait fort possiblement emprisonner ces deux êtres, voir même les étouffer pour l’éternité.

Arkadiamédiéval, 28 au 30 Septembre 2018: Synopsis
Par Carl Jacques.
Le Destin Des Gardiens
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Les toiles des Abysses sont tissées.
Les êtres arachnides rôdent partout dans le village et de plus en plus de pièges sont tendus.
Les autorités locales ont de la difficulté pour contenir cette menace.
L’économie du village en a souffert un coup.
Wolfgang Strauss, a donc décidé d’envoyer des missives afin de recevoir du support de l’Union Marchande afin d’aider le village.
Étrangement, tous les messagers sont revenus sur leurs pas avec une nouvelle inquiétante :
Wolfencrow est présentement entouré de brumes opaques qui semblent priver d’air quiconque désirant les traverser.
Les habitants sont maintenant prisonniers de leur propre village en plus d’être aux prises avec les araignées géantes du Culte De La Veuve Noire. Les porteurs des parasites sont aussi de la partie, remplissant les quatre volontés des Elfes Noirs qui se cachent dans la forêt de Croasse.
Depuis ces derniers jours, un fait étrange fut rapporté : Tous les priants d’Arawn se sentent connectés au Dieu Arawn plus que jamais.
De plus, au loin, l’ont peut parfois apercevoir une montagne qui s’élève au dessus des brumes et ayant sur son sommet un château dont l’apparence concorde fort bien avec les écrits religieux de la religion d’Arawn.
La plupart ont donc déduis que le village de Wolfencrow fut transporté sur l’île sacrée d’Anwynn par un moyen inconnu qui échappe toute logique.
D’autres affirment que tout le village n’est qu’une illusion dans laquelle la Mort les a confinés dans un bus bien précis, mais non dévoilé jusqu'à maintenant.
Les plus fatalistes ont répandue la nouvelle que le monde d’Arkadia a finalement sombré dans les Abysses et que tous les villageois sont en réalité morts et vivent dans une sorte d’après-vie, tout en attendant leur jugement.
Peu importe ce qui se passe réellement, le village se trouve encore en plein infestation des êtres arachnides tout en étant coupé du reste du monde d’Arkadia.
C’est ainsi que le destin des gardiens dragonniers vient de se révéler jusqu'à tout récemment. L’œuf maître contenant le pouvoir de Feudragon devra choisir deux autres gardiens qui auront pour tâche de réduire en cendres les engeances des Abysses se trouvant sur l’île d’Anwynn.
Une fois de plus, Wolfencrow est mis à l’épreuve.
Si la charogne n’empoisonne pas le corbeau et bien qu’en est-il du poison des araignées ?
Le Loup reste toujours silencieux face à cette question

Conclusion de Septembre 118:
La Mort avait transporté Wolfencrow sur l’île d’Anwynn, dans l’espoir que les gardiens dragonniers puissent purger les créatures abyssales par le pouvoir du Feudragon, contenu dans chaque œuf dont ils en étaient les gardiens.
Toutefois, le destin des gardiens dragonniers fut triste et sombre. Après plusieurs essais de pénétrer dans le nid des abysses, plusieurs aventuriers qui accompagnèrent les gardiens y laissèrent leurs peaux et leurs corps furent projetés dans la forêt froide pour être relevés en squelettes morts-vivants. Les deux moments de raids sur le nid, qui consistaient en plusieurs vagues d’explorations de ce dernier, constituèrent un échec, autant de nuit comme de jour.
Le séjour que les habitants de Wolfencrow passèrent sur l’île d’Anwynn fut étrange et parsemé de mystères. Ces derniers purent rencontrer des versions différentes des gens qu’ils connaissaient déjà tels que la lumineuse Izzy qui semblait bien humaine et l’archiduc Duval qui était désormais devenu un ange sous le nom d’Imperion. Ils purent aussi faire connaissance de la sœur étrange Luna, mais aussi de ténébreux personnages tels qu’un avatar d’Asmodérus, La Mort, un esprit hurleur. Hors de toute attente, le retour de Balthazar d’Arcon, désormais possédé par le pouvoir d’Atem’ra contenu dans un masque greffé sur son visage, en secouant plus d’un. Ce dernier fut cependant libéré de l’influence d’Atem’ra par Aeron Islander, qui put le convaincre de le laisser lui retirer le masque, ce qui libéra ensuite des milliers d’âmes qui était enfermé dans l’objet. Le mystérieux pèlerin fut aussi de retour, et pu convaincre Edward Nox et quelques autres habitants de lui rendre hommage en lui offrant un gîte, ce qui semblait bien étrange, pour une personne qui affirmait ne pas avoir besoin de rien…
Les forces abyssales l’emportèrent finalement sur Wolfencrow et sur l’île d’Anwynn suite aux invasions des créatures arachnides. La Mort décida donc de se plier au plus grand désir de la défunte déesse Atem’ra en la ressuscitant et en lui donnant sa forme originelle.
Ceci força les millions de créatures arachnides de se dissiper et de reformer la déesse, libérant du même coup, tous les plans dimensionnels de l’infestation des créatures arachnides qui les avaient envahis. Ceci comprenait les parasites qui avaient été introduits par les Elfes Noirs du Culte De La Veuve Noire, qui avaient un certain contrôle sur leurs cerveaux.
Atem’ra, déesse des Elfes Noirs, revint donc au panthéon divin, au plus grand plaisir de ses adorateurs. Cependant, La Mort refusait désormais tout accès aux âmes priants de cette religion sur l’île d’Anwynn. Leurs âmes iraient dorénavant directement dans les Abysses, sans même passer par les portes du monde des morts dont Arawn en était le gardien.
Le village de Wolfencrow fut donc ensuite renvoyé par La Mort sur le monde d’Arkadia, mais, ayant été en en contact avec le plan des brumes, n’était plus tout à fait comme avant.
Les forces des Abysses avaient bel et bien remporté sur les forces du bien et par le fait même, le dieu Leviastis, qui s’était allié précédemment au Culte De La Veuve Noire, venait d’élargir son influence sur toutes les mers d’Arkadia. Le nombre grandissant de Krakens sur les mers en était la preuve.
L’expérience de ses habitants qui furent en contact avec l’île d’Anwynn les avaient non seulement transformés, mais en avait aussi transformé l’essence même du sol sur lequel le village se trouvait.
Malgré tous les événements de l’an 118, La Mort fit de nouveau en sorte que la Charogne n’empoisonna pas le Corbeau, mais en avait aussi payé le prix…