Les belles et moins belles histoires des pays Arkadiens, partie 7: Le plan de l'Empire
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Les belles et moins belles histoires des pays Arkadiens, partie 7: Le plan de l'Empire
Les belles et moins belles histoires des pays Arkadiens, partie 7
Par Carl Jacques,
Juin 118
Sur la frontière impériale de la seigneurie de Trois-Couronnes, se trouve les portes d’Osmath, qui la sépare de la région du Mortbaey.
Du côté du Mortbaey, se trouve un bidonville de Slumtown dans lequel vivent des humains défavorisés et rejetés de la société impériale.
C’est un lieu décrépit, crade et sale dont personne ne veut réellement prendre la responsabilité. Seul la loi du plus fort persiste et l’on y retrouve un grand nombre de contrebandiers qui soudoient parfois les impériaux afin de faire traverser de la marchandise illicite du côté qui s’avère le plus payant sur le moment.
Un bon matin, sans qu’on ne sache comment ni pourquoi, les portes d’Osmath furent grande ouvertes et les gardes laissèrent même passer des Orques du côté impérial.
Ces derniers, composés essentiellement de mercenaires, transportèrent avec eux une catapulte et prirent le chemin principal menant directement vers la seigneurie de Trois-Couronnes.
Dans quel but ?
Les soldats impériaux semblaient l’ignorer, proclamant qu’ils ont reçu l’ordre d’une autorité supérieure de les laisser entrer en Empire sans rouspéter.
Est-ce que ces orques allaient prêter main forte aux seigneurs impériaux dans le besoin ?
S’agissait t’il plutôt d’une attaque orchestrée afin de déloger un quelconque seigneur de l’une ou plusieurs de ses seigneuries ?
Ou bien, peut-être s’agissait t’il d’une ressource manquante, voir inaccessible pour les Orques Noirs du Mortbaey et qu’une entente aurait été faite avec un membre du conseil impérial des douzes afin de combler le besoin de ces Orques ?
Personne ne semblait avoir de réponses.
Tout ce que l’on sait, c’est que les gardes reçurent l’ordre d’ouvrir les portes et que des mercenaires orques sont passé vers l’Empire.
Les portes furent refermées ensuite, empêchant quiconque de pouvoir y passer de nouveau.
Il est évident que l’Empire avait un plan de prévu et que le fait que le Mortbaey était en guerre avait un lien direct avec cet étrange stratagème...
Par Carl Jacques,
Juin 118
Sur la frontière impériale de la seigneurie de Trois-Couronnes, se trouve les portes d’Osmath, qui la sépare de la région du Mortbaey.
Du côté du Mortbaey, se trouve un bidonville de Slumtown dans lequel vivent des humains défavorisés et rejetés de la société impériale.
C’est un lieu décrépit, crade et sale dont personne ne veut réellement prendre la responsabilité. Seul la loi du plus fort persiste et l’on y retrouve un grand nombre de contrebandiers qui soudoient parfois les impériaux afin de faire traverser de la marchandise illicite du côté qui s’avère le plus payant sur le moment.
Un bon matin, sans qu’on ne sache comment ni pourquoi, les portes d’Osmath furent grande ouvertes et les gardes laissèrent même passer des Orques du côté impérial.
Ces derniers, composés essentiellement de mercenaires, transportèrent avec eux une catapulte et prirent le chemin principal menant directement vers la seigneurie de Trois-Couronnes.
Dans quel but ?
Les soldats impériaux semblaient l’ignorer, proclamant qu’ils ont reçu l’ordre d’une autorité supérieure de les laisser entrer en Empire sans rouspéter.
Est-ce que ces orques allaient prêter main forte aux seigneurs impériaux dans le besoin ?
S’agissait t’il plutôt d’une attaque orchestrée afin de déloger un quelconque seigneur de l’une ou plusieurs de ses seigneuries ?
Ou bien, peut-être s’agissait t’il d’une ressource manquante, voir inaccessible pour les Orques Noirs du Mortbaey et qu’une entente aurait été faite avec un membre du conseil impérial des douzes afin de combler le besoin de ces Orques ?
Personne ne semblait avoir de réponses.
Tout ce que l’on sait, c’est que les gardes reçurent l’ordre d’ouvrir les portes et que des mercenaires orques sont passé vers l’Empire.
Les portes furent refermées ensuite, empêchant quiconque de pouvoir y passer de nouveau.
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